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Le « burn out » est un état d’épuisement physique, mental et émotionnel. Ce terme est initialement utilisé pour parler de la dégradation d’un état d’une personne au travail… mais elle s’étend aujourd’hui à la parentalité.


Effectivement, on parle alors de burn-out maternel, burn-out paternel, burn-out parental… Néanmoins, qui parle du burn-out de la belle-mère ?


Celui-ci n’existe pas mais j’ai fortement envie de l’inventer… On pourrait alors parler de « burn-out belle-maternel » ? « burn-out de la marâtre » ?


La belle-mère, belle-maman, marâtre, vilaine, compagne à papa, celle qui a si mauvaise image dans les contes de fées de notre enfance, mais aussi et encore toujours dans notre société.


La belle-mère est bien souvent victime d’appréhensions, de jugements. Sa place est loin d’être simple et elle n’en retire que peu de reconnaissance.


De nombreuses belles-mères viennent alors me contacter avec ces mots (maux) :


« Épuisée, Je suis exténuée, je n’en peux plus »

« Vidée, je me sens vide»

« Il me semble que je fais une dépression, je ne sais pas »

« J’ai l’impression de vivre sans cesse sous stress, sous tension »

« Je n’ai plus l’énergie de rien »

« Je n’ai plus l’énergie de la colère, je suis à bout »


Lorsque je parle alors de « burn-out », certaines s’effondrent, en me disant que oui, elles se sentent en « burn-out », avec personne pour les comprendre, personne pour les entendre, mais bien du monde pour les juger.


Alors que le burn-out parental ou professionnel est facilement reconnu, les personnes qui le subissent sont alors assez souvent entourées, accompagnées, reconnues dans leurs douleurs.


Mais la belle-mère, elle, lorsqu’elle parle de burn-out, elle est parfois raillée, d’autres fois on lui rappelle que, si elle a « choisi l’arbre, elle doit accepter les branches » … On lui dit qu’elle a choisi cette situation, que c’est comme ça, qu’elle doit « prendre sur elle. »


Lorsque l’on parle de burn-out parental, il est courant d’entendre des phrases bienveillantes comme : « c’est difficile d’être parent ».


Lorsque l’on parle du burn-out de la belle-mère, il y a encore bien trop souvent une tendance au jugement : « elle le mérite un peu non ? elle en fait trop, elle a qu’à en faire moins, elle a qu’à se détacher… ».


Elle rencontre parfois un peu d’empathie, mais si peu de personnes pour comprendre, pour l’aider à se sortir des sables mouvants dans lesquels elle se sent enlisée.


Attention, que l’on ne se méprenne pas sur mes intentions.


Je ne suis pas là pour « victimiser » la belle-mère en difficulté, je voudrais plutôt inviter chacun d’entre nous à ajouter plus de nuances dans les situations, sortir du monde binaire du « bien », du « mal », ou de la « victime » et du « bourreau », pour voir ce que chacun ou ce que chaque situation a de richesse et de profondeur.


Sortir de TOUS jugements pour essayer de comprendre, se comprendre, apprendre et s’entendre (oui ça fait beaucoup de « endre »).

Thomas d’Ansembourg dans « Cessez d’être gentil, soyez vrai »

« Lorsque je juge, je ne m’interroge ni sur moi-même, ni sur l’autre. Au contraire, je me sépare de mon être profond, et de l’être profond de l’autre en restant dans mon espace mental. Le jugement fige, congèle la réalité.»

Quels sont les signes d’un « burn-out de la marâtre » ?

Cette liste ne va pas être exhaustive et il n’est pas obligatoire de remplir toutes les cases pour être en burn-out.


Par conséquent, si vous observez chez vous certains de ces signes, ils doivent surtout vous faire prendre conscience que quelque chose ne va pas et qu’il est temps de prendre soin de vous.


Bien sûr, les symptômes énoncés ci-dessous ne sont pas forcément dus à un burn-out, mais la somme de ces symptômes peut y faire penser.

  • Les premiers signes peuvent être : stress, fatigue, agacement, sensation d’être débordée et comportements nerveux
  • Troubles du sommeil : insomnies, addictions aux somnifères, angoisses nocturnes, difficulté à s’endormir avec des pensées angoissantes et tristes qui tournent en boucle.
  • Douleurs diffuses : digestifs, maux de dos, de tête, problèmes de peau, variation de poids, hypertension, fatigue chronique…
  • Détérioration du rapport aux autres : agressivité, agacement, le lien aux autres s’effrite (beaux-enfants, conjoint, …)
  • Pensées négatives et honteuses
  • Culpabilité – sensation d’être nulle- manque de confiance en soi, d’estime de soi
  • Les émotions telles que la tristesse, la colère, la peur deviennent envahissantes avec une hypersensibilité, un sentiment d’impuissance, du pessimisme, un état dépressif, une indécision, le sentiment de ne pas avoir le contrôle de sa vie.
  • En résulte alors des comportements tels que : de l’agressivité, de la violence, de l’irritabilité, de la frustration, un repli sur soi, une impulsivité.
  • Pour finir, il y a un blocage, une incapacité à faire évoluer sa situation, à agir.
Violaine Guéritault dans son livre « la fatigue émotionnelle et physique des mères : le burn-out maternel »

« Cette phase d’épuisement est atteinte par le corps suite à une exposition à un état de stress continu, qui perdure dans le temps et qui finit par user toutes nos réserves d’énergie. Nous nous sentons alors submergées, dépassées par les événements et la capacité de notre corps à répondre efficacement à cette menace est très sérieusement compromise. Nous sommes à bout de nos forces physiques et émotionnelles. »

Le «burn-out de la marâtre » se rapproche du burn-out maternel.

Violaine Guéritault parle alors de trois stades du burn-out maternel que je vais adapter ici aux belles-mères :

Les 3 stades du BURN-OUT de la belle-mère

1.Épuisement physique et émotionnel


La belle-mère a l’impression d’avoir une énorme charge sur ses épaules, elle se sent comme devant une montagne infranchissable mais n’a pas la force d’en faire le tour… Elle se sent comme enlisée, fatiguée, vidée.

Émotionnellement et physiquement, son corps crie par tous les moyens un besoin urgent de prendre soin d’elle.


2.Distanciation / détachement


Malgré tout ça, la belle-mère se sent dans l’obligation de continuer à faire, elle va alors se couper d’elle-même et des autres.

Comme si elle se dissociait. Elle va se distancier physiquement et émotionnellement de ce qu’elle perçoit comme la source de son stress : beaux-enfants, conjoint, ex…

C’est un mécanisme de survie. Le risque à ce stade-là, c’est que la relation avec son conjoint, ses beaux-enfants s’abiment, et qu’elle se sente encore plus mal qu’elle ne l’est déjà. Elle ne s’épanouit pas ainsi, mais ne sait pas comment faire autrement.


3.Le reniement : abandon et repli sur soi


Affaiblissement de son efficacité, de sa confiance en elle et de ses relations dans sa famille recomposée.


Épuisée, elle perd confiance en elle, en sa famille.

Elle est prise parfois de forte angoisse, de doutes, elle peut s’auto-critiquer fortement ou reporter toute la faute sur les autres, sur les beaux-enfants, sur le conjoint, sur l’ex. Il n’y a plus de nuances.

Elle se sent parfois « victime » des autres, et quand on se sent victime, le cerveau réagit au stress par : l’attaque, la fuite ou l’inhibition. En pensant que tout est la faute des autres, elle ne retrouve plus les ressources nécessaires à un changement.

Les causes possibles du burn-out de la belle-mère ?

Je n’aime pas faire une généralité de cas particuliers, donc j’aime à rappeler que chaque situation est unique et singulière.

Je vais énoncer certaines causes qui peuvent amener au burn-out, mais il est évident qu’il est quelque chose de complexe et qu’il appartient à chacune d’en découvrir les causes, qui seront toujours très personnelles.


Une charge mentale importante


Certaines belles-mères n’arrivent pas à se sortir d’une charge mentale importante. Elles sont prises par des « il faut que » « je dois » qui les grignotent à petit feu.


Elles font passer les besoins des autres avant les leurs


Certaines belles-mères pensent qu’elles doivent « prendre sur elles », elles font passer leurs besoins après ceux de tous. Parfois elles tombent alors dans l’extrême inverse, dans une phase où elles font passer leurs besoins avant ceux des autres. Il peut exister une difficulté à réaliser que les besoins de tous peuvent être satisfaits, sans sacrifice.


L’imprévisibilité des événements et des situations


La famille recomposée c’est parfois beaucoup d’incertitude, les belles-mères se retrouvent alors en situation de stress constant.

Que va-t-il se passer ?

Que va-t-il arriver ?

Suis-je en danger ?

Vais-je réussir à “tenir” ce week-end?

Elles sont parfois exclues des décisions. Elles ne contrôlent pas leur vie, pensent être dépendantes des autres, et c’est source de forte angoisse.


Absence de reconnaissance


Elles ont alors la sensation de faire beaucoup et de n’avoir que peu ou pas de reconnaissance en retour. Pire encore, parfois, elles reçoivent de la négativité, des jugements, en échange de ce qu’elles donnent.


Absence de soutien physique et émotionnel


Elles se sentent parfois terriblement seules. Attendent un soutien du conjoint, mais aussi de la part de la société.

Elles se sentent incomprises et finissent parfois par se taire par peur de « perdre » l’amour de l’autre, ou d’être jugée.


Une envie de bien faire avec un rôle idéalisé de ce que devrait être une belle-mère


Parfois, elles accordent une grande importance à leur rôle de belle-mère, elles voudraient être parfaites, réussir ce challenge. Quand tout ne se passe pas comme prévu, quand l’estime de soi ou la confiance en soi est fragile, la chute peut être rude.


Une difficulté à trouver de l’aide


Il existe bien des livres, des professionnels, pour accompagner les mères. Il en existe très peu pour les belles-mères. Elles se retrouvent sans ressources, sans soutien.

Alors comment sortir du burn-out de la marâtre ?

Le burn-out, qu’il soit professionnel, parental, ou de la marâtre, nécessite bien souvent un accompagnement professionnel. Selon les situations, cela peut-être un(e) psychologue, un(e) hypno-thérapeute. J’accompagne moi-même des personnes en burn-out et j’oriente vers d’autres professionnels si besoin.

Je vais essayer ici de vous donner quelques pistes pour sortir d’un burn-out de la marâtre :


1.Prendre conscience que l’on fait un burn-out


La première étape paraît évidente mais elle est essentielle ! Réaliser votre état. Se rendre compte que ça ne va pas. Cette prise de conscience peut s’accompagner d’un « état des lieux » de la situation, afin de comprendre les causes de ce burn-out.


2.Prendre la responsabilité de notre état


Il ne s’agit pas ici de dire que vous êtes entièrement responsable de votre état, de chercher un coupable, mais plutôt de dire que vous êtes la seule personne qui puisse vous en sortir.


Prendre la responsabilité de son état, c’est prendre la responsabilité de ses émotions et de ses besoins. Lorsque l’on réalise qu’on est responsable de ses besoins non satisfaits, on cesse d’espérer que les autres les remplissent pour nous. On redevient alors acteur de notre vie et non pas objet des autres.


Prendre la responsabilité de nos besoins, comprendre que nous pouvons y répondre par nous-même, c’est se donner la chance de sortir du rôle de victime. Notre cerveau sort alors des trois modes dans lequel il a pu s’enliser : l’attaque, la fuite ou l’inhibition.


3.Un travail sur les émotions et les besoins pour se ressourcer


Pour cela, je propose tout un travail sur les émotions et les besoins.

Comprendre toute la palette de sentiments qui vous animent, vous accorder de l’empathie (par vous-même ou avec un professionnel compétent), et mettre en lumière TOUS les besoins qui ne sont pas remplis et qui font que vous êtes dans un état de douleur aujourd’hui.


Quand on parle de besoins, on pense souvent à se nourrir, boire, dormir, éliminer. Mais nous sommes des êtres humains, et comme tous les êtres humains, nous avons bien d’autres besoins à remplir pour nous sentir épanouies: amour, respect, considération, réciprocité, connexion, partage, sécurité, …etc


Faire ce travail, c’est aussi un bon moyen de « faire le ménage » entre ce qui nous appartient et ce qui ne nous appartient pas.


Par ailleurs, lorsque l’on se trouve en situation de burn-out, se ressourcer est essentiel, il existe de nombreux outils pour ça, par exemple la méditation pleine conscience, la cohérence cardiaque, l’auto-hypnose, un travail sur un focus positif… la liste peut être longue, à chacune de choisir quelque chose qui lui correspond.


4.Travailler sur sa confiance en soi, son estime de soi


Les belles-mères en burn-out se sentent vidées, insécurisées.


Travailler la confiance en soi, leur estime d’elles-mêmes, c’est leur donner l’occasion de se re-remplir, d’elles-mêmes, de se sentir plus solides.

Elles prennent alors leur place, sans violence, sans agressivité, sans avoir la sensation de devoir se battre.


5.Lâcher prise, faire le deuil


C’est quoi lâcher prise ? « Moyen de libération psychologique consistant à se détacher du désir de maîtrise. » dit le Larousse.


Lâcher prise, c’est renoncer à ce que l’on ne peut pas contrôler, mettre de côté nos attentes, nos désirs, nos projections et nos ruminations afin d’accepter pleinement les évènements auxquels nous sommes confrontés.


Je crois que c’est une jolie manière d’être dans le présent, de s’attacher à nos besoins et non à nos désirs et envies.

Le lâcher-prise rime aussi avec acceptation, pardon, et demande parfois de faire le deuil de ce à quoi l’on tient.


Je ne suis pas une grande partisane du « lâcher-prise » très en vogue aujourd’hui, parce qu’on en vient à une injonction au « lâcher-prise » qui est contre-productif à mon sens !


Vous dire: « lâchez-prise », sans aucune explication est juste anxiogène et culpabilisant, agaçant même, si on n’y arrive pas… et si on « tient prise » c’est toujours pour une bonne raison !


Alors les bonnes questions à se poser sont :


À quoi on s’accroche ?


Pourquoi on s’y accroche ?


Est-ce qu’il y a le vide en dessous ? Ou juste une nouvelle vie avec plus de liberté ?


Imaginez-vous : vous vous tenez à une branche, très fort, mais vous fermez les yeux tellement vous avez peur !


Alors vous ne voyez même pas la branche, vous ne savez pas si elle est solide, vous ne savez pas non plus s’il y a le vide en dessous, vous ne savez pas ce qu’il va se passer si vous lâchez… alors vous vous y accrochez fermement.


C’est souvent ce qui arrive aux belles-mères. Enfin vous l’aurez compris, pas de s’accrocher à des branches, tout cela n’est qu’une image, mais de s’accrocher à des choses qu’elles n’arrivent pas à lâcher.


Faire un travail sur le lâcher prise et un travail de deuil sur ce qu’on ne pourra pas changer, permet de se libérer.


6.Renforcer son couple ET son couple parental


Dans nos familles recomposées, les sujets sensibles et susceptibles de créer des tensions dans le couple sont fréquents (enfants, ex, plannings, gestions du quotidien, compréhension de l’autre, finances…).

Le temps de construction du couple avant de construire un « couple parental » n’existe pas ou peu.


Les tensions sont alors nombreuses, chacun essaye de s’affirmer, de se faire entendre, de se faire comprendre.


Et pourtant, le couple est la base de votre famille, les racines solides de l’arbre que vous construisez ensemble.


C’est avec un couple solide que les épreuves sont traversées sereinement, c’est avec un couple uni que les enfants peuvent trouver leurs nouvelles marques. Votre couple c’est aussi la graine de votre famille, il faut en prendre soin pour lui permettre de développer ses racines, tout a commencé par ça et il ne doit être négligé sous aucun prétexte.


Renforcer son couple c’est aussi se ressourcer et se renforcer soi.

C’est aussi parfois, réussir à retrouver un équilibre de la charge mentale, ou un soutien. Une aide précieuse pour sortir d’un burn-out.


Je propose aussi plusieurs clés de communication dans le couple (que vous retrouverez sur ma page facebook, dans mon groupe « belle-mère de la douleur à la ou sur le blog. Tous les liens se trouvent en dessous de l'article) Ceci fait partie aussi de mon accompagnement. Communiquer autrement dans le couple est essentiel pour retrouver un socle solide et sécurisant.

7.Trouver de l’aide, du soutien


Pour finir, il est important de se faire aider et de trouver des personnes qui savent être en empathie et sans jugement. Il existe une communauté de belles-mères, car qui mieux qu’une belle-mère pour comprendre une autre belle-mère ?


Malheureusement, il arrive parfois que même entre belles-mères, les jugements vont bon train… J’invite alors celles qui sont en difficulté à s’entourer de personnes qui sauront leur apporter du soutien.


8.Se recentrer

Pour finir je vous propose une citation de Thomas D’Ansembourg pour vous recentrer et prendre du temps pour soi.


Avoir une vraie qualité d’écoute à soi-même, sans jugement, sans chercher à changer quelque chose, est un outil de ressourcement et de découverte de soi important. On trouve ça normal de faire le contrôle de sa voiture, de devoir faire des mises à jour pour son ordinateur, de nettoyer sa cafetière…


On pense encore qu’il est légitime d’annuler un rendez-vous parce que nous avons une réunion importante pour le travail, ou encore parce que nous devons nous occuper de documents administratifs, mais nous imaginons qu’il ne serait pas légitime d’annuler un rendez-vous en disant que nous avons besoin de faire le bilan de notre état physique, psychique et émotionnelle.


C’est alors que l’on pense que notre corps, notre être, nous, nous n’avons pas besoin de faire un check up de notre relation à nous-même, de notre état interne, de nos envies, de nos douleurs… Est-ce que tout ça n’est pas absurde? Est-ce que l’essentiel ne serait pas déjà “nous”?

Thomas d’Ansembourg dans « Cessez d’être gentil, soyez vrai »

« Je propose la méthode suivante : Trois minutes, trois fois par jour d’écoute de soi-même sans jugement, sans reproche, sans conseil, sans tentative de solution.

Trois minutes pleines de présence à vous et non à vos projets ni à vos préoccupations.

Trois minutes pour faire le point de votre état des lieux intérieur sans essayer de rien changer.

Trois minutes pour vous relier à vous-même, vérifier que vous vous habitez bien.

C’est de cette qualité de présence à vous-même que pourra naître la qualité de présence à l’autre. »


Envie de ne plus traverser ça seule ?

Dans Le Cercle Privé,
j’accompagne des belles-mères comme toi, chaque jour.

Un espace sécure, bienveillant, sans jugement, où tu peux poser tes questions, partager tes difficultés, mais aussi recevoir du soutien et des clés concrètes pour retrouver plus d’harmonie et reprendre le contrôle de ton bien-être.

Des évènements en ligne exclusif tous les mois.
Des replays avec des ressources qui te donneront des solutions concrète pour t'aider à faire de la belle-mèrité une richesse plutôt qu'un fardeau !

Parce qu’on n’est pas faites pour porter tout ça seules.
Et qu’ensemble, on va plus loin.

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(Tu es la bienvenue, quelle que soit l’étape où tu en es.)

Sarah,

Spécialiste de la famille recomposée,

© La douceur des herissons – accompagnement familial pour belles-mères en difficulté / familles recomposées


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